Fort de son premier sacre en Ligue des Champions, le Paris Saint-Germain ne veut pas s’arrêter en si bon chemin. À quelques jours de l’ouverture du Mondial des clubs, Luis Enrique affiche clairement ses ambitions.
Une semaine après avoir marqué l’histoire du club en écrasant l’Inter Milan (5-0) en finale de la Ligue des champions, le Paris Saint-Germain se projette déjà vers un nouveau sommet : la Coupe du monde des clubs 2025. Ce tournoi élargi, organisé pour la première fois dans un format à 32 équipes, s’annonce comme la nouvelle grande scène du football mondial. Et Luis Enrique entend bien y laisser son empreinte. « C’est une compétition nouvelle, excitante, mondiale. Et nous voulons la gagner. »
Luis Enrique veut dominer le monde avec le PSG
En conférence pour DAZN, diffuseur officiel du tournoi, l’entraîneur parisien n’a pas masqué son enthousiasme : « Pour la première fois, un tournoi désignera le meilleur club du monde. C’est historique. C’est une fête pour les fans de football du monde entier. »
Le PSG débutera sa campagne le 15 juin face à l’Atlético Madrid (23h00, heure française), dans un groupe relevé. Mais pas de place au doute pour l’ancien coach du Barça, qui souhaite capitaliser sur l’élan de Munich pour asseoir la suprématie parisienne à l’échelle planétaire.
Un format impitoyable… et propice aux surprises
Luis Enrique sait cependant que ce nouveau format ne pardonnera aucune erreur « À partir des huitièmes, chaque match est une finale. Il n’y a pas de retour. Et dans ce sport, tout peut arriver. Le football est imprévisible, il ne récompense pas toujours le meilleur. Mais notre ambition reste la même : aller au bout. »
Le PSG vise l’histoire, encore
Avec un effectif auréolé d’un titre européen, d’un Ballon d’Or potentiel (Lamine Yamal), et d’une confiance retrouvée, le PSG se présente comme l’un des favoris du tournoi. Mais face aux Bayern, Palmeiras, Flamengo, River Plate, Benfica, et autres cadors venus des cinq continents, la conquête s’annonce redoutable « L’objectif, c’est clair : gagner. C’est notre mentalité désormais. On ne se cache plus. »
