Carlos Vela prend sa retraite : clap de fin pour une carrière internationale marquante

Par admin8493
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Los Angeles FC forward Carlos Vela motions during the second half of an MLS playoff soccer match against the Seattle Sounders, Tuesday, Nov. 24, 2020, in Seattle. The Sounders won 3-1. (AP Photo/Ted S. Warren)

À 36 ans, Carlos Vela a officiellement raccroché les crampons. L’attaquant mexicain, qui s’est illustré à travers plusieurs championnats majeurs, dont la Premier League, la Liga et la MLS, met fin à une carrière riche en moments forts, en buts décisifs et en distinctions individuelles. Une trajectoire atypique pour un joueur à la technique raffinée et au flair offensif indéniable.

De l’Europe à la reconnaissance mondiale

Formé très jeune à Arsenal, Carlos Vela a d’abord multiplié les prêts pour acquérir de l’expérience en Espagne, avant d’intégrer véritablement l’effectif des Gunners en 2008. Malgré quelques coups d’éclat, il ne parvient pas à s’imposer comme titulaire à Londres. C’est à la Real Sociedad, dès 2011, que sa carrière prend son envol. Durant sept saisons, il devient un acteur incontournable de l’équipe basque, cumulant 73 buts et 43 passes décisives en 250 matchs. Ce passage en Liga marquera son apogée européenne.

L’âge d’or en MLS avec le Los Angeles FC

En 2018, Carlos Vela rejoint le championnat nord-américain sous les couleurs du Los Angeles FC. Rapidement, il s’impose comme la star de la franchise californienne. Sa saison 2019 reste dans les mémoires : 34 buts inscrits et un titre de MVP à la clé. Véritable moteur offensif du club, il totalise 93 buts et 54 passes décisives en 189 apparitions. Son leadership permet notamment au LAFC de décrocher le titre en 2022. Vela aura marqué durablement l’histoire de la MLS.

Un parcours en sélection nationale ponctué de succès

Avec 72 sélections et 19 buts sous le maillot du Mexique, Carlos Vela a également laissé son empreinte en équipe nationale. Il a participé à deux Coupes du monde (2010 et 2018) et contribué à deux sacres en Gold Cup (2009 et 2015). Malgré quelques absences remarquées au fil des années, son talent offensif a souvent été salué par les supporters et observateurs.

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