Florent Ghisolfi sur le départ : une aventure express à l’AS Rome

Par N .M
2 min de lecture
Sports Manager of Nice Florent GHISOLFI during the Ligue 1 Uber Eats match between RC Lens and OGC Nice at Stade Bollaert-Delelis on March 16, 2024 in Lens, France.(Photo by Daniel Derajinski/Icon Sport)

Arrivé à l’AS Rome il y a tout juste un an, Florent Ghisolfi s’apprête déjà à tourner la page. Le dirigeant français, l’un des rares à évoluer à un haut poste technique dans les grands championnats européens, devrait quitter ses fonctions de directeur technique dans les jours à venir. Une décision qui surprend, d’autant plus qu’aucune communication officielle n’a encore été faite par le club romain sur les raisons de cette séparation.

Une saison agitée dans la capitale italienne

La mission de Ghisolfi à Rome n’aura pas été de tout repos. La saison 2024-2025 a été marquée par une instabilité chronique sur le banc, avec pas moins de trois entraîneurs qui se sont succédé : Daniele De Rossi, Ivan Juric puis Claudio Ranieri. Malgré ces bouleversements, les Giallorossi ont terminé cinquièmes de Serie A, décrochant une qualification européenne, mais sans atteindre les objectifs fixés en début de saison.

Cette instabilité sportive a inévitablement impacté les plans à long terme du directeur technique, venu de l’OGC Nice avec l’ambition de construire un projet cohérent et durable.

Un nouveau défi en perspective ?

Les raisons précises du départ de Ghisolfi n’ont pas encore été dévoilées, mais plusieurs sources évoquent un possible nouveau projet pour l’ancien dirigeant de Reims, Lorient et Lens. Reconnu pour son œil avisé en matière de recrutement et de structuration sportive, il pourrait rebondir rapidement dans un autre club ambitieux, en France ou à l’étranger.

Un parcours déjà riche pour un dirigeant en pleine ascension

À seulement 39 ans, Florent Ghisolfi continue de tracer une trajectoire singulière dans le paysage du football européen. De plus en plus sollicité, son nom est régulièrement cité lorsqu’un club souhaite bâtir un projet solide autour d’une politique sportive moderne. Son passage à Rome, bien que court, pourrait renforcer encore davantage sa crédibilité sur le marché des décideurs du football.

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