FC Barcelone : La prolongation de Raphinha bloque pour deux raisons

Par admin8493
2 min de lecture
Raphinha

Alors que le FC Barcelone travaille activement sur plusieurs dossiers de prolongations, celui de Raphinha connaît quelques turbulences. L’ailier brésilien, auteur de performances solides cette saison, n’a toujours pas trouvé d’accord avec les dirigeants blaugranas. Deux points principaux ralentissent les discussions : la durée du nouveau contrat et les exigences salariales.

Désaccord sur la durée du contrat

Le FC Barcelone propose une prolongation d’un an, assortie d’une option pour une année supplémentaire, en fonction de certaines performances. Une formule qui ne satisfait pas l’entourage de Raphinha. Le joueur de 27 ans réclame une prolongation ferme de deux ans, sans conditions. Pour lui, il s’agit d’obtenir une stabilité à moyen terme, essentielle pour continuer à s’épanouir en Catalogne.

Les exigences salariales de Raphinha

Autre point de friction : le salaire. Actuellement sous contrat jusqu’en 2027, le Brésilien estime mériter une revalorisation salariale à la hauteur de ses prestations et de son importance dans l’effectif. Ses agents ont clairement fait savoir au club que des efforts financiers sont attendus pour finaliser l’accord. Du côté du Barça, confronté à des contraintes économiques strictes imposées par la Liga, la marge de manœuvre reste limitée.

L’ombre de l’Arabie saoudite

En parallèle, l’Arabie saoudite continue d’observer la situation de très près. Plusieurs clubs saoudiens ont manifesté leur intérêt pour Raphinha, prêts à lui offrir un contrat XXL. De quoi ajouter une pression supplémentaire sur le Barça, même si le joueur privilégierait, à ce jour, une poursuite de son aventure européenne.

Un dossier complexe pour Barcelone

Le FC Barcelone sait qu’il doit gérer ce dossier avec précaution. Le Brésilien est un élément clé pour l’entraîneur et apprécié dans le vestiaire comme en témoignent ses 30 buts et 18 passes décisives cette saison. Toutefois, les exigences du joueur et l’intérêt venu du Moyen-Orient compliquent les négociations. Si aucun accord n’est trouvé rapidement, un départ l’été prochain ne serait pas à exclure.

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