Le départ d’Ansu Fati du FC Barcelone vers l’AS Monaco est en très bonne voie, mais deux points cruciaux restent à régler avant de finaliser l’opération. Les négociations entre le club catalan, la formation monégasque et l’agent Jorge Mendes sont avancées, même si la prudence reste de mise.
Un transfert dicté par des impératifs financiers et sportifs
Le Barça, engagé dans une opération de dégraissage pour retrouver une marge salariale et recruter cet été (notamment Luis Díaz), a ouvert la porte à un départ de Fati. L’ailier formé à la Masia n’a pas réussi à s’imposer durablement ces dernières saisons. Convaincu par le projet de Monaco, il se dit désormais prêt à tourner la page.
Deux points à éclaircir avant l’officialisation du transfert
Malgré l’accord global, deux éléments freinent l’officialisation :
- La formule du transfert : Barcelone privilégie un transfert sec, tandis que Monaco envisagerait un prêt avec option d’achat.
- L’évaluation financière : une offre avoisinant les 15 millions d’euros est évoquée, mais les deux clubs ne sont pas encore tombés d’accord sur le montant final ni sur une éventuelle clause libératoire.
Un timing serré pour la signature d’Ansu Fati à la Principauté
Pour des raisons fiscales, le deal doit impérativement être bouclé avant la fin juin, ce qui pousse toutes les parties à accélérer les discussions. Jorge Mendes, en chef d’orchestre expérimenté, œuvre pour conclure l’accord au plus vite.
Pour Ansu Fati comme pour le Barça, la séparation semble inéluctable. Monaco représente une destination idéale pour relancer la carrière du jeune international espagnol, toujours bourré de talent mais en quête de continuité.
