Zamalek et José Peseiro se séparent d’un commun accord : fin d’une collaboration courte mais intense

Par admin8493
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Le conseil d’administration du Zamalek SC a officiellement annoncé, ce mercredi 7 avril, la fin de sa collaboration avec l’entraîneur portugais José Peseiro, d’un commun accord entre les deux parties. L’entraîneur égyptien Ayman El Ramady devra assurer l’intérim jusqu’à la fin de la saison en cours.

Une séparation attendue dans un contexte tendu

Arrivé à la tête de l’équipe dans l’espoir de redynamiser le club et de retrouver les sommets du football égyptien, José Peseiro n’a finalement pas réussi à convaincre sur le banc du Zamalek SC. Malgré une expérience reconnue en Afrique et en Europe, ses résultats n’ont pas été à la hauteur des ambitions du club. Les Blancs ont été éliminés de la Coupe de la Confédération africaine et de la Coupe de la capitale (Coupe de la Ligue), et ne sont que troisièmes en championnat.

Sous la direction de Peseiro, Zamalek a connu une série de résultats en dents de scie, alternant entre victoires timides et contre-performances inquiétantes. Ce bilan mitigé a pesé dans la balance et a poussé les dirigeants à opter pour une séparation à l’amiable. Le coach portugais quitte donc le club sans litige, dans un climat de respect mutuel, seulement 82 jours après son arrivée en remplacement du Suisse Christian Gross.

Les avis divergent sur le départ de José Peseiro

Avec cette décision, le Zamalek se lance désormais à la recherche d’un nouvel entraîneur capable de stabiliser le groupe et d’atteindre les objectifs fixés pour la fin de saison. Plusieurs noms circulent déjà dans les coulisses du club, mais aucune annonce officielle n’a encore été faite. En attendant, c’est Ayman El Ramady qui dirigera l’équipe première.

La nouvelle a rapidement fait le tour des réseaux sociaux et divise les supporters. Si certains saluent la décision comme une nécessité, d’autres regrettent le manque de stabilité chronique au sein du staff technique du club. Cette énième rupture contractuelle met en lumière les défis que doit encore relever le Zamalek pour redevenir un acteur dominant du football africain.

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