Le Qarabağ FK continue de surprendre l’Europe. Après son exploit face au Benfica (3-2) lors de la première journée, le club azerbaïdjanais a confirmé son excellent début de parcours en Ligue des champions en dominant le FC Copenhague 2-0 à Bakou. Une victoire solide qui place l’équipe parmi les grandes révélations de ce début de compétition.
Des Azerbaïdjanais confiants
Portés par leur succès inaugural contre Benfica, les joueurs de Qarabağ ont abordé cette rencontre avec assurance. Dès la première période, les Azerbaïdjanais ont imposé leur rythme et ont été justement récompensés. Après une frappe de Pedro Bicalho repoussée par le poteau, Abdellah Zoubir a ouvert le score en renard des surfaces, plongeant le stade de Bakou dans l’euphorie.
Copenhague, timide offensivement, aurait pourtant pu égaliser immédiatement, mais Mohamed Elyounoussi a manqué le cadre sur une action rapide. Avant la pause, Leandro Andrade a failli doubler la mise, mais son tir a été sauvé sur la ligne par Marcos López.
Copenhague impuissant
De retour des vestiaires, l’entraîneur Jacob Neestrup a tenté de relancer ses hommes avec deux changements. Si les Danois ont retrouvé davantage de maîtrise, ils n’ont jamais su concrétiser leurs rares occasions. La tête de Jordan Larsson, bien captée par Mateusz Kochalski, est restée leur meilleure opportunité.
À l’inverse, Qarabağ a su faire preuve de réalisme. Dans le dernier quart d’heure, Emmanuel Addai a scellé la victoire d’un superbe enchaînement à l’entrée de la surface, confirmant la supériorité des locaux.
Qarabağ, une révélation européenne
Avec ce deuxième succès en deux matchs, Qarabağ rejoint un cercle très fermé aux côtés de l’Inter Milan, du Bayern Munich et du Real Madrid, seules équipes à avoir réalisé un sans-faute en ce début de saison européenne. De son côté, le FC Copenhague n’a récolté qu’un point en deux journées et voit déjà la qualification s’éloigner.
Audacieux et inspirés, les Azerbaïdjanais s’affirment désormais comme l’une des sensations de cette Ligue des champions 2025/26.
