L’Atlético de Madrid n’a pas caché sa colère après avoir constaté que Julián Álvarez ne figurait pas parmi les 22 attaquants présélectionnés pour le prix The Best 2025. Malgré une saison exceptionnelle sous le maillot madrilène, l’Argentin a été écarté par la FIFA, une décision jugée incompréhensible par le club et ses supporters.
Une saison exceptionnelle passée sous silence
Arrivé à l’Atlético de Madrid l’été dernier, Julián Álvarez a réalisé une première saison éblouissante. Avec 29 buts et 8 passes décisives en 57 matchs, l’attaquant argentin s’est imposé comme le fer de lance du système offensif de Diego Simeone.
Son efficacité et sa polyvalence ont permis au club madrilène de rivaliser sur tous les fronts, faisant de lui l’un des joueurs les plus décisifs d’Europe. Pourtant, son nom ne figure pas dans la liste publiée par la FIFA, qui a préféré inclure d’autres stars comme Lionel Messi, Cristiano Ronaldo, Vinicius Jr ou Lamine Yamal.
L’Atlético exprime sa frustration sur les réseaux sociaux
Face à cette omission, le club espagnol a réagi publiquement sur X (ex-Twitter). Dans un message sobre mais symbolique, l’Atlético a publié un émoji d’araignée – surnom de Julián Álvarez – accompagné d’un regard surpris, en guise de protestation.
Ce geste a rapidement fait le tour des réseaux, de nombreux fans exprimant leur soutien à l’international argentin et leur incompréhension face à cette décision jugée injuste.
Álvarez, une reconnaissance qui tarde à venir
Pour beaucoup d’observateurs, cette absence reflète une tendance à privilégier les noms les plus médiatisés plutôt que les performances réelles de la saison. Álvarez, pourtant champion du monde en 2022 et désormais pilier de l’Atlético, semble toujours sous-estimé sur la scène internationale.
Son impact dans le jeu, sa régularité et son influence dans les grands matchs font pourtant de lui un prétendant légitime à une place parmi les meilleurs attaquants du monde.
Alors que la FIFA n’a pas commenté cette exclusion, l’Atlético de Madrid a, quant à lui, fait passer un message clair : Julián Álvarez mérite bien plus de reconnaissance.
