Jules Koundé s’insurge contre le calendrier surchargé des compétitions

Par N .M
2 min de lecture

Alors que de nombreuses stars du football mondial participent actuellement à la Coupe du monde des clubs aux États-Unis, Jules Koundé, défenseur du FC Barcelone, a choisi de prendre la parole pour dénoncer l’intensité du calendrier imposé aux joueurs professionnels. En vacances, l’international français n’a pas caché son incompréhension face au rythme infernal vécu par ses collègues.

Koundé, une critique assumée sur les réseaux sociaux

Sur son compte X (anciennement Twitter), Jules Koundé a publié un message qui n’est pas passé inaperçu. « C’est tellement bien d’être en vacances. Il y a des équipes, leur saison elle a commencé mi-juillet 2024… On est le 4 juillet 2025 et ils jouent encore… », a-t-il écrit, visiblement interloqué par la longévité de la saison de certains clubs encore engagés dans des compétitions. Une publication qui vise clairement les formations européennes comme Real Madrid, Chelsea ou le PSG, encore en lice sur la scène internationale après une saison éprouvante.

Un débat qui divise dans le monde du football

Le message de Koundé relance une fois de plus le débat sur le surmenage des joueurs professionnels, notamment ceux évoluant dans des clubs qualifiés pour de nombreuses compétitions : championnats nationaux, coupes nationales, compétitions européennes et désormais la Coupe du monde des clubs élargie. De nombreuses voix, y compris celles de grands entraîneurs, ont déjà dénoncé l’impact de ce rythme effréné sur la santé physique et mentale des footballeurs.

Le Barça en retrait, mais attentif

Non qualifié pour cette édition de la Coupe du monde des clubs, le FC Barcelone est spectateur des débats, mais Jules Koundé n’a pas hésité à s’exprimer librement. Cette prise de position pourrait trouver un écho dans les instances dirigeantes du football, alors que de plus en plus de professionnels réclament une réforme du calendrier. En attendant, le défenseur blaugrana savoure un repos bien mérité, conscient que la pause estivale est devenue un luxe pour beaucoup de ses pairs.

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