Alors que la Coupe du monde des clubs se joue actuellement aux États-Unis, l’Inter Miami en a profité pour présenter son ambitieux projet d’infrastructure : le Miami Freedom Park, futur écrin du club cofondé par David Beckham. Ce nouveau stade, dont l’ouverture est prévue pour 2026, incarne une vision résolument moderne du sport, entre technologie, culture et engagement communautaire.
Un stade multifonctionnel au cœur de la ville de Miami
Le Miami Freedom Park ne se limite pas à un simple stade. Construit sur 52 hectares, il comprendra une enceinte de 25 000 places, mais aussi un vaste parc public de 23 hectares, des terrains de sport, des restaurants, des commerces, un hôtel et des bureaux. Présenté comme un projet « centré sur la communauté », il entend s’intégrer pleinement dans le tissu urbain local. Le communiqué du club souligne que l’enceinte reflétera « l’énergie et la passion de Miami pour le football ».
Une vitrine technologique à la pointe de l’innovation
En partenariat avec Hewlett-Packard, l’Inter Miami veut faire du Freedom Park un modèle de stade intelligent. Le futur complexe sera doté d’un réseau Wi-Fi haute capacité, d’un cloud hybride et de solutions d’intelligence artificielle afin de personnaliser l’expérience des spectateurs. Le système permettra une connectivité rapide, des services interactifs et des analyses en temps réel pour optimiser la gestion des événements. L’ambition est claire : faire du stade « un leader mondial en matière d’innovation et d’engagement des fans ».
Un projet aux airs de Camp Nou
L’architecture du Freedom Park n’est pas sans rappeler celle du nouveau Camp Nou, un clin d’œil qui n’échappera pas à Lionel Messi, tête d’affiche du club. À un an de l’inauguration et de la Coupe du monde 2026 aux États-Unis, cette annonce confirme la volonté d’Inter Miami de s’imposer comme une franchise de premier plan, tant sur le terrain que dans l’infrastructure. Un véritable symbole de la croissance du football en Amérique du Nord.