Alors que la Fédération italienne de football (FIGC) s’active pour remplacer Luciano Spalletti, fraîchement évincé, l’espoir de voir Claudio Ranieri prendre les commandes de la Nazionale s’est éteint ce week-end. Sollicité par le président Gabriele Gravina, le technicien de 72 ans a décliné l’offre, fidèle à son engagement auprès de l’AS Roma.
Un choix de cœur et de loyauté
De retour à la Roma en novembre dernier pour une mission de pompier de luxe, Ranieri avait annoncé qu’il raccrocherait définitivement après ce dernier défi. Désormais investi dans un rôle de conseiller à Trigoria, il n’a jamais envisagé de faire marche arrière, malgré le prestige du poste de sélectionneur. L’appel de la Nazionale, aussi prestigieux soit-il, n’aura pas suffi à faire fléchir un entraîneur qui a toujours placé l’éthique et la loyauté au premier plan.
La FIGC vers Stefano Pioli ?
Avec le refus de Ranieri, la FIGC pourrait désormais accélérer sur une autre piste prioritaire : Stefano Pioli. Libre depuis son départ de l’AC Milan, l’ancien coach rossonero semble aujourd’hui le mieux placé pour reprendre la main sur une Squadra Azzurra en quête de reconstruction et de stabilité.
