Aston Villa cible Kevin De Bruyne : les contours d’un pari XXL

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Par admin8493
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Kevin De Bruyne bouclera sa dixième et dernière saison à Manchester City. À 33 ans, le milieu offensif a répété qu’il n’envisageait ni prolongation ni retraite. Libre de tout contrat, il s’apprête à écouter « tous les projets capables de [le] stimuler ». Dans les rangs des prétendants, un nom surprend : Aston Villa.

Fin de cycle à Manchester City : le contexte contractuel

Kevin De Bruyne arrive au terme de son contrat le 30 juin 2025 après dix saisons pleines à Manchester City. À 33 ans, le meneur belge a confirmé qu’il ne prolongerait pas, ouvrant la porte à un dernier défi européen. Son entourage recherche un « projet compétitif en Premier League » avant d’envisager la Major League Soccer. Cette situation de joueur libre réduit l’opération à un salaire (environ 20 M€ brut) et à une prime à la signature, facteurs qui n’effraient pas Aston Villa, club désormais régulier en coupe d’Europe sous Unai Emery.

Pourquoi Aston Villa croit en ses chances

Les Villans disposent d’un budget renforcé par deux exercices comptables positifs et la perspective d’une qualification en Ligue des champions. Le board voit en De Bruyne le leader technique apte à accélérer la progression de l’équipe. Le départ très probable de Douglas Luiz, courtisé par Arsenal, pourrait dégager jusqu’à 70 M€ et libérer la masse salariale nécessaire. Sportivement, le Belge évoluerait derrière Ollie Watkins, soutenu par Moussa Diaby et Leon Bailey : un cadre idéal pour optimiser ses qualités de passe (177 assists depuis 2015).

Concurrence de la MLS : atout ou épouvantail ?

Inter Miami, Chicago Fire et NYCFC ont formulé des offres de Designated Player incluant des revenus marketing considérables. Toutefois, la MLS n’offre ni la visibilité de la Ligue des champions ni l’intensité hebdomadaire de la Premier League. Pour De Bruyne, qui vise encore l’Euro 2028 avec la Belgique, rester en Angleterre assure un niveau de compétition élevé et la proximité familiale. Aston Villa mise précisément sur cet argument sportif pour doubler les franchises américaines.

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