La Juventus s’apprête à frapper fort sur le marché des transferts. Après une saison décevante sur le plan offensif, les dirigeants bianconeri s’activent pour renouveler leur ligne d’attaque. Dernière cible en date : Viktor Gyökeres, l’attaquant suédois du Sporting CP, auteur d’une saison XXL.
Gyökeres : des statistiques affolantes au Sporting
Arrivé l’été dernier à Lisbonne, Viktor Gyökeres a littéralement explosé sous les couleurs du Sporting. En 52 matchs, il a inscrit 54 buts, toutes compétitions confondues, plaçant son nom en haut des listes des plus grands clubs européens. Sa clause libératoire est fixée à 100 millions d’euros, mais le Sporting pourrait envisager un départ autour de 70 millions, selon La Gazzetta dello Sport.
La Juventus tente de frapper vite et fort
Le club piémontais, en quête d’un nouveau souffle offensif après le départ annoncé de Dušan Vlahović, voit en Gyökeres un profil idéal pour relancer son attaque. Les finances de la Juventus sont désormais plus flexibles, entre la qualification pour la Ligue des champions et une réduction de la masse salariale. Le club pourrait donc rapidement formuler une offre concrète pour s’attacher les services du buteur suédois.
Un duo Gyökeres–Osimhen en vue ?
Toujours selon la presse italienne, la Juventus rêve d’un duo Viktor Gyökeres–Victor Osimhen. De retour à Naples après un prêt convaincant à Galatasaray (36 buts en 40 matchs), Osimhen attire lui aussi l’attention des Bianconeri. Toutefois, Naples réclame 75 millions d’euros, une somme qui complique la donne, surtout pour un transfert vers un concurrent direct en Serie A.
Une double offensive tout à fait possible
Grâce à ses revenus de Ligue des champions et à sa participation à la Coupe du Monde des Clubs 2025, la Juve bénéficie d’un levier financier inédit. Ce contexte pourrait permettre à la Vieille Dame de réaliser un mercato XXL en s’offrant deux des buteurs les plus en vue de la saison.
Avec Gyökeres comme cible prioritaire et Osimhen en plan parallèle, la Juventus affiche clairement ses ambitions pour redevenir un cador offensif en Europe. Reste à voir si les négociations, complexes et coûteuses, aboutiront.