Ligue des Nations – Petite finale : Julian Nagelsmann vigilant face à la vitesse des Bleus

À la veille du match pour la troisième place de la Ligue des Nations, le sélectionneur de l’Allemagne Julian Nagelsmann s’est exprimé en conférence de presse, mettant en garde contre les qualités offensives de l’équipe de France, notamment sa vitesse. « Fermer les espaces », une priorité pour la Mannschaft Opposée à l’équipe de France ce dimanche […]

Par N .M
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À la veille du match pour la troisième place de la Ligue des Nations, le sélectionneur de l’Allemagne Julian Nagelsmann s’est exprimé en conférence de presse, mettant en garde contre les qualités offensives de l’équipe de France, notamment sa vitesse.

« Fermer les espaces », une priorité pour la Mannschaft

Opposée à l’équipe de France ce dimanche à Stuttgart (15h00), l’Allemagne sait à quoi s’attendre. Julian Nagelsmann, très concentré à l’approche de cette rencontre, a insisté sur l’importance de limiter les espaces laissés aux attaquants tricolores : « Il ne faudra pas laisser trop de marge de manœuvre à l’adversaire et le laisser profiter de sa vitesse », a-t-il expliqué, tout en reconnaissant la puissance de feu française.

Un clin d’œil à Kimmich et une dose d’humour

Malgré la menace que représente la vitesse des Bleus, Nagelsmann garde une certaine sérénité. Il s’est même permis un trait d’humour en évoquant la demi-finale contre le Portugal : « Ce n’est pas parce que nous n’avons pas de défenseur qui court à 36 km/h qu’on ne va pas jouer le match ! Joshua Kimmich a bien réussi à freiner Neto, qui va à 36 km/h », a-t-il lancé en souriant. Une manière de désamorcer la pression, tout en valorisant l’état d’esprit de ses joueurs.

Une défaite jugée « sévère » pour les Bleus face à l’Espagne

Nagelsmann n’a pas manqué de commenter la performance des Français lors de leur spectaculaire demi-finale perdue face à l’Espagne (5-4). Selon lui, le score ne reflète pas la physionomie du match : « La France a mieux joué, notamment les 20 premières minutes », a-t-il souligné. Il a estimé que les Espagnols avaient été réalistes, mais pas nécessairement supérieurs dans le jeu : « L’Espagne n’avait pas eu d’action avant celle du premier but. »

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