Gianluca Scamacca forfait avec l’Italie contre l’Estonie et Israël

Par N .M
2 min de lecture

L’équipe d’Italie devra se passer de son attaquant Gianluca Scamacca pour les deux prochaines rencontres des éliminatoires de la Coupe du monde 2026. Touché au ligament collatéral du genou gauche, le joueur de l’Atalanta a quitté le rassemblement de la Squadra Azzurra à Coverciano. Une absence qui complique les plans de Gennaro Gattuso à l’heure d’aborder deux matchs importants face à l’Estonie et Israël.

Une blessure confirmée par la Fédération italienne

Arrivé en sélection avec une gêne persistante, Gianluca Scamacca espérait pouvoir participer à ces deux rendez-vous internationaux. Le staff médical avait choisi de le surveiller de près dans l’attente d’une évolution positive. Mais ce jeudi matin, la Fédération italienne (FIGC) a publié un communiqué officiel annonçant son forfait. L’attaquant de 26 ans, encore diminué, n’était pas en état de disputer ces rencontres et a été libéré pour rejoindre son club, l’Atalanta Bergame.

Un coup dur pour Gennaro Gattuso

Cette absence représente une vraie perte pour Gattuso, qui comptait sur Scamacca pour dynamiser l’attaque italienne. L’ancien buteur de Sassuolo et de West Ham avait débuté la saison en bonne forme avec son club, ce qui laissait espérer une continuité en sélection. Le sélectionneur devra désormais revoir ses plans offensifs et miser sur d’autres profils pour maintenir l’efficacité de la Squadra Azzurra. Face à deux adversaires réputés accrocheurs, l’Italie devra trouver des solutions rapides pour compenser ce manque.

L’Atalanta attentive à l’évolution de son joueur

Du côté de Bergame, la priorité reste la récupération totale de Scamacca. L’Atalanta, engagée à la fois en Serie A et sur la scène européenne, suit de près la situation de son attaquant. Le club souhaite éviter toute aggravation et récupérer son buteur dans les meilleures conditions. Pour l’Italie, la situation souligne une fois de plus l’importance de la gestion physique des joueurs cadres, alors que le calendrier international s’annonce particulièrement dense d’ici à la Coupe du monde 2026.

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