Le nom Ancelotti continue de résonner dans le monde du football. Après avoir accompagné son père Carlo dans plusieurs aventures, Davide Ancelotti prend enfin son envol en tant qu’entraîneur principal. Et c’est au Brésil, du côté du Botafogo, que le technicien italien débute sa carrière en solo. Une annonce officielle qui suscite l’enthousiasme des supporters cariocas et l’attention du monde du football.
Une signature ambitieuse pour Botafogo
Ce lundi 8 juillet 2025, Botafogo a officialisé l’arrivée de Davide Ancelotti comme nouvel entraîneur principal via ses réseaux sociaux. Le club de John Textor, bien décidé à franchir un cap après une élimination prématurée en Coupe du monde des clubs, mise sur le savoir-faire de l’ancien adjoint du Real Madrid pour relancer la machine. Le contrat court jusqu’en décembre 2026.
De l’ombre à la lumière : Davide Ancelotti trace sa voie
Longtemps dans l’ombre de son père, Davide Ancelotti a été un adjoint clé dans les plus grands clubs d’Europe, notamment au Bayern Munich, au Napoli, à Everton, et plus récemment au Real Madrid, où il a contribué à la conquête de nombreux titres. À 35 ans, il franchit enfin un cap attendu depuis plusieurs saisons : celui de devenir coach principal. Son choix du championnat brésilien montre une volonté d’explorer une culture footballistique intense et exigeante.
Une mission délicate mais pleine d’opportunités
Arrivant en remplacement de Renato Paiva, remercié après l’échec en huitièmes de finale du Mondial des clubs, Ancelotti fils aura la lourde tâche de redresser un Botafogo qui aspire à mieux sur le plan national comme continental. Son profil moderne, son bagage tactique et sa proximité avec des méthodes de travail rigoureuses séduisent une direction en quête de stabilité.
Un héritage à écrire sous le soleil brésilien
Avec ce premier poste officiel, Davide Ancelotti s’apprête à écrire sa propre histoire, loin de l’ombre imposante de son père. Le Brésil, terre de football passionnée, lui offre un défi de taille mais aussi une chance unique de prouver qu’il peut réussir seul. Pour Botafogo, ce pari pourrait bien devenir un coup de génie.