La Coupe du Monde féminine continue de grandir. Après être passée de 16 équipes en 2011 à 24 en 2015 et 2019, puis à 32 en 2023 et 2027, la compétition accueillera 48 nations dès l’édition 2031. Cette décision historique a été validée vendredi par le Conseil de la FIFA, selon l’agence Reuters.
Cette nouvelle expansion marque une étape majeure dans le développement du football féminin à l’échelle mondiale. En multipliant les places disponibles, la FIFA souhaite encourager la croissance du football féminin dans les régions sous-représentées, tout en augmentant l’exposition médiatique et commerciale du tournoi.
« Cette décision s’inscrit dans la volonté de rendre le football féminin plus global, plus compétitif et plus inclusif », a déclaré un porte-parole de la FIFA.
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Une Coupe du Monde féminine toujours plus grande
- 2011 : 16 équipes
- 2015 & 2019 : 24 équipes
- 2023 & 2027 : 32 équipes
- 2031 : 48 équipes
Cette montée en puissance s’aligne avec la croissance exponentielle de l’intérêt pour le football féminin. L’édition 2023, organisée en Australie et en Nouvelle-Zélande, avait déjà battu des records d’audience et de fréquentation dans les stades.
Quels défis et enjeux pour le Mondial Féminin 2031 ?
Avec un format à 48 équipes, la FIFA devra repenser le calendrier, le nombre de matchs et les critères de qualification. De nouveaux continents pourraient voir leurs sélections émerger sur la scène mondiale, mais cette réforme soulève aussi des questions sur le niveau de compétitivité global et la logistique d’un tournoi élargi.
L’identité du pays hôte pour 2031 n’a pas encore été révélée, mais le choix devra répondre à des exigences accrues en matière d’infrastructures et de capacité d’accueil. Cette édition pourrait se jouer aux États-Unis, seule candidature pour l’heure.
