Vainqueur du Paris Saint-Germain en finale du Mondial des clubs (3-0), Chelsea ne se contente pas de soulever un prestigieux trophée.
Le club londonien repart également avec une récompense financière exceptionnelle, fruit d’un parcours parfait dans le nouveau format de la compétition. Entre primes de victoires, bonus de performance et dotations liées à la participation, les Blues voient leur succès sportif se transformer en véritable jackpot économique, avoisinant les 125 millions d’euros. Un gain record qui confirme l’enjeu financier grandissant de cette Coupe du monde des clubs nouvelle génération.
Une victoire finale à plus de 34 millions d’euros
En dominant le PSG en finale, Chelsea a décroché un chèque de 34,6 millions d’euros, uniquement pour cette dernière marche franchie. À cela s’ajoute une prime de participation spécifique à la finale, estimée à 25,6 millions d’euros. En cumulant ces deux montants, la seule présence sur la pelouse du MetLife Stadium a rapporté au club plus de 60 millions. De quoi récompenser les ambitions sportives du club anglais et justifier les investissements de la direction menée par Todd Boehly.
Des primes progressives à chaque tour franchi
Le nouveau format du Mondial des clubs a été conçu pour récompenser les performances à tous les niveaux de la compétition. Chelsea, en allant jusqu’au bout, a donc accumulé les primes : 18 millions d’euros pour avoir franchi les demi-finales, 11,4 millions pour les quarts de finale, et 6,5 millions pour les huitièmes. Même les victoires en phase de poules ont été gratifiées, avec une enveloppe supplémentaire de 3,6 millions. Ces montants, cumulés à ceux de la finale, placent Chelsea au sommet de la hiérarchie financière de ce tournoi.
Une prime de participation qui pèse lourd
Avant même le coup d’envoi de leur premier match, les clubs qualifiés recevaient déjà un généreux bonus de participation. Dans le cas de Chelsea, cette somme atteignait 25,7 millions d’euros. C’est donc dès l’engagement dans la compétition que les Blues ont pu capitaliser sur leur présence. En conjuguant prestige et rentabilité, Chelsea sort doublement vainqueur : sportivement sur le terrain et stratégiquement dans les comptes. Une opération idéale qui renforce la position du club sur la scène internationale, et qui prouve que dans le football moderne, les titres peuvent aussi faire exploser les revenus.
