Newcastle United ne compte pas laisser filer Alexander Isak. Face aux rumeurs d’un possible départ de l’attaquant suédois, notamment vers Liverpool, les Magpies envisagent de frapper fort pour sécuriser leur joyau offensif. Selon The Times, le club anglais est prêt à faire d’Isak le joueur le mieux payé de son histoire, afin de contrecarrer les offensives de clubs concurrents.
Une prolongation de contrat XXL en préparation
Alors que Liverpool, mais aussi le FC Barcelone, surveillent attentivement la situation, Newcastle prépare une contre-attaque. La direction serait sur le point d’ouvrir des discussions avec l’entourage du joueur pour lui offrir un nouveau contrat très lucratif. Le but ? Porter son salaire hebdomadaire à plus de 150 000 livres sterling, dépassant ainsi celui de Bruno Guimarães, actuellement l’un des mieux rémunérés du club.
Cette revalorisation salariale viserait à reconnaître l’impact majeur d’Isak sur le terrain, tout en envoyant un signal fort : Newcastle souhaite s’installer durablement parmi les grands d’Angleterre.
Eddie Howe ferme la porte à un transfert
L’entraîneur Eddie Howe et son staff sont catégoriques : Isak est intransférable. Le joueur, sous contrat jusqu’en 2028, est considéré comme un pilier du projet sportif des Magpies. Avec 23 buts inscrits en Premier League la saison dernière, l’ancien joueur de la Real Sociedad a confirmé son statut de buteur d’élite.
Howe compte sur lui pour mener l’équipe vers les sommets, notamment en Coupe d’Europe, objectif affiché du club pour les saisons à venir.
Isak, serein et focalisé sur Newcastle
De son côté, Alexander Isak n’a montré aucun signe de volonté de départ. Le buteur de 25 ans se sent bien à Newcastle, où il s’est imposé comme un leader technique et un chouchou du public. Si les convoitises sont nombreuses, Isak semble concentré sur sa progression et sur les ambitions collectives du club.
Newcastle sait qu’il sera difficile de repousser indéfiniment les intérêts extérieurs, mais le club entend tout faire pour conserver son atout majeur.